La mal-élevance est un truc qui transcende les classes. On la retrouve, arrogante, chez ceux qui ont du blé, évoluent dans la haute et en remontrent aux autres par leur supériorité réelle ou supposée.Reno a écrit:Du coup, quartier difficile ou "trop" aisé, je ne suis pas sûr que la mauvaise éducation soit nécessairement où on l'imagine.
On la croise aussi chez les ploucs et les mimiles qui se sont extraits de leur condition de merde, croyant que leur pavillon dans un lotissement et leur BMW 120D ou leur Audi A3 / A4 fait d'eux des gens bien. Mais ils peinent toujours à écrire leur nom sans y faire une faute.
Elle éclot et croit enfin chez tous ceux qui ont choisi la vie professionnelle de l'herboristerie artisanale, de la serrurerie de nuit et du commerce de HiFi-video-informatique. et je n'irai pas plus loin dans sa description.
En ce moment, la mal élevance à laquelle je suis confronté par chez moi... c'est la seconde et la troisième...
... voire la racaille des deux quartiers dits sensibles qui entourent mon coin et font que plus tôt on en partira, mieux ce sera.
Je n'ai jamais été emmerdé par un fils-à-papa. Ce n'est pas un gosse-de-riche qui m'a buté un chat, pété un barillet de serrure sur le Trafic, pété une vitre sur le Trafic, ni qui prend ma rue pour les Hunaudières.