Gér@rd a écrit:Elles avaient du charme ces premières montres à quartz LCD (enfin abordables) du début des années '80 (à la louche, je me souviens plus trop des dates exactes) !
J'ai eu
ma CASIO en
1983
Et oui, il y a un gros côté nostalgique dans mon intérêt récent pour ces montres à cristaux liquides.
Même la "
Ripley" est une réédition moderne d'un modèle de 1978.
C'est celle qui m'a lancé sur ce chemin.
Je me souviens de l'apparition brutale des toutes premières quartz avec des écrans LED à affichage rouge où il fallait appuyer sur un poussoir pour voir s'afficher l'heure pendant quelques secondes. Curieusement c'était les américains qui dominaient le marché (Texas Instrument et Fairchild surtout). Elle étaient pas très cher mais pas pratiques
Ouiiii. Les affichages LED (c'est encore une autre technologie que le LCD).
Marrant que tu en parles. J'étais absolument fasciné par cet affichage "lumineux", et je dois dire que j'avais été un peu déçu par l'arrivée du LCD, qui, malgré ses indéniables qualités (surtout l'affichage permanent) perdait à mes yeux son principal attrait : cet affichage rouge lumineux qui faisait des ravages dans l'obscurité
Je crois que je n'ai dû voir qu'une seule montre à LED au poignet d'un copain, avant que n'arrivent en masse les premières LCD Japonaises (CASIO, SEIKO).
Ce qu'on avait vu davantage auparavant en revanche, c'était les calculatrices de la génération de mon frangin, les Texas Instrument et les Hewlett Packard
(qui utilisaient une méthode de calcul inspirée des Russes, c'était très curieux).

(celle de mon frère avait un affichage LED vert)
Lorsque sont apparues celles à affichages LCD le marché a basculé vers les japonais (Seiko dominait). Enorme progrès, enfin une montre à quartz qui affiche l'heure en permanence (très gros progrès !). Mais les premières coutaient très cher.
Oui, je l'avais déjà raconté je ne sais plus où ; il y avait deux groupes distincts, quand j'étais au collège.
- un premier auquel j'appartenais, de milieu relativement aisé, qui avait les CASIO autour de 200 F ;
- un second, beaucoup plus restreint, de gosses de riches (un ou deux par classe, pas plus) qui avaient droit à de la SEIKO à 1000 balles (ce qui représentait un budget absolument colossal à l'époque).
Pas de fantaisies ceci dit, du genre
OMEGA comme celle de feu mon oncle, qui coûtaient parfois plus cher que les montres mécaniques de la même époque. Ca c'était réservé aux adultes, je n'en ai jamais vu à l'école.
Enfin sont apparues des LED démarquées enfin abordables pour le grand public. Ma première quartz LCD était de la grande marque "Galaf" 'lisez : "Galeries Lafayettes"). J'aurais dû la garder...
Ah oui c'est dommage
C'est justement ces marques qui n'étaient ni CASIO ni SEIKO qui m'intéressent aujourd'hui, même si je n'en ai honnêtement aucun souvenir personnel.