gueriop a écrit:Horsault a écrit:Regarde bien du côté du niveau d'isolation fourni (le R ou le lambda).
Parfois, c'est un peu plus cher, mais on change de classe.
Pour ce qui est de compter la surface "vide pour plein", c'est une pratique courante, puisque l'isolant se vend en plaques ou rouleaux. Mais normalement le prix au m² est légèrement moins cher que ceux qui calculent précisément.
R 3.7, c est un melange chanvre,coton de tete. A la rigueur le coté bio je m en tape, vu que l'objectif 1er est d'habillé le mur avec ou sans isolation pour une partie
je me dis que pour l'instant j'avais fait un max de chantier moi-meme et la a part la fixation de l'armature (mur pierre seche) il n y a pas forcement de grosse difficultés
en gros en pleine reflexion
Je trouve qu'un R=3,7 est quand même assez faible, même s'il ne s'agit que d'un complément. Il faudrait voir l'épaisseur que ça ajoute aux murs. Et de quoi tu pars (s'il y a un isolant intérieur).
Le seul avantage des isolants naturels, c'est qu'ils ont souvent une plus grande inertie que les isolants synthétiques. L'inertie, c'est le temps que l'isolant va mettre pour être traversé par le chaud (ou le froid).
Par exemple, les isolants couche mince offrent une très bonne isolation, mais ont peu d'inertie, c'est-à-dire que, une fois exposés au soleil, ils vont mettre 2 heures (p. ex.) pour transmettre le chaud à l'intérieur. Alors que la laine de mouton va avoir une inertie de 8 h. Mais au prix d'une épaisseur de 15 cm et d'un poids conséquent.
Malheureusement, rares sont ceux qui font la pub de l'inertie de leur produit (et pour cause...)