Isabel-78 a écrit:nic0 a écrit:a écrit:Ouaiiiiiiiis
nic0 c'est la relève de Reno.
Comment ça faut relever Reno? L'est encore tombé Papy? On lui a dit aussi d'arrêter de jouer au bucheron...
Isabel-78 a écrit:nic0 a écrit:a écrit:Ouaiiiiiiiis
nic0 c'est la relève de Reno.
jules64 a écrit:Il ne faisait pas le bucheron, il a abusé de son nectar à 1,342€ le litre
Reno a écrit:Ah ben nan, t'es foutu.
C'est un modèle à modulations… on est partout en fréquence vocale, maintenant
Faut vivre avec ton temps, papy
Nico_le_Normand a écrit:Sûr de sûr !landrover a écrit:Ah ouai ... un S63... t'es sur que c'est plutôt un vieux téléphone orange
C'est un de ces bons vieux SoCoTel S63, ça.
D'ailleurs à la réflexion, effectivement il est rouge et pas orange.
Je ne savais pas qu'il existait en rouge.
Donc il me manque celui là et le orange.
Alors, je te déteste doublement;
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En revanche, c'est quoi, le bitoniau sur le côté ?
Horsault a écrit:Vous me faites rigoler avec vos histoires de téléphone.
Je me souviens d'une époque, avant le déploiement des cabines téléphoniques, où tu avais le choix pour téléphoner :
- aller jusqu'au bureau de poste, et demander à la préposée une communication. Elle appelait le standard, pendant que tu patientais. Puis, le standard rappelait pour indiquer que la ligne était établie. Tu entrais donc dans la cabine du bureau de poste, où la préposée transférait ton appel.
C'était un gros truc, puisqu'on pouvait y entrer à plusieurs, au parois tapissées de bois percé de trous. À la fin de la communication, tu sortais, et tu attendais que le standard appelle la préposée pour donner le prix de la communication. Du style plus de 30F pour 5 minutes entre l'Ardèche et le Rhône (vu le prix du petit noir à l'époque, et le timbre tarif rapide dans les 1,20 F, ça coûtait un bras !)
- te rendre chez l'un des heureux possesseurs d'une ligne, qu'ils acceptaient de mettre à disposition. Il y en avait 3 ou 4 par village. Tu allais donc chez les gens, dans leur pièce commune. La fermière appelait le standard de son appareil mural pour demander une communication pour ton numéro.
La standardiste rappelait quand elle avait la communication, tu prenais le téléphone dans la pièce, tu raccrochais, tu attendais le rappel de la standardiste pour savoir combien payer directement au fermier.
Souvent d'ailleurs, l'appareil ne disposait pas de cadran, mais d'une simple manette qu'on actionnait pour faire sonner au standard.
Puis, à la fin des année 80, ils ont tiré massivement des lignes de partout, on a pu avoir chacun son téléphone chez soi, avec des communications à prix cassé…
Avant, il fallait indiquer à l'administration des Postes son intention de se voir raccordé au téléphone, et attendre parfois plusieurs années que ladite ordonne de tirer des fils de cuivre jusqu'à chez toi. Je me souviens avec émotion de la camionnette venue tirer le fil, en aérien, sur une centaine de mètres pour acheminer le téléphone dans la maison.
Horsault a écrit:Vous me faites rigoler avec vos histoires de téléphone.
Je me souviens d'une époque, avant le déploiement des cabines téléphoniques, où tu avais le choix pour téléphoner :
- aller jusqu'au bureau de poste, et demander à la préposée une communication. Elle appelait le standard, pendant que tu patientais. Puis, le standard rappelait pour indiquer que la ligne était établie. Tu entrais donc dans la cabine du bureau de poste, où la préposée transférait ton appel.
C'était un gros truc, puisqu'on pouvait y entrer à plusieurs, au parois tapissées de bois percé de trous. À la fin de la communication, tu sortais, et tu attendais que le standard appelle la préposée pour donner le prix de la communication. Du style plus de 30F pour 5 minutes entre l'Ardèche et le Rhône (vu le prix du petit noir à l'époque, et le timbre tarif rapide dans les 1,20 F, ça coûtait un bras !)
- te rendre chez l'un des heureux possesseurs d'une ligne, qu'ils acceptaient de mettre à disposition. Il y en avait 3 ou 4 par village. Tu allais donc chez les gens, dans leur pièce commune. La fermière appelait le standard de son appareil mural pour demander une communication pour ton numéro.
La standardiste rappelait quand elle avait la communication, tu prenais le téléphone dans la pièce, tu raccrochais, tu attendais le rappel de la standardiste pour savoir combien payer directement au fermier.
Souvent d'ailleurs, l'appareil ne disposait pas de cadran, mais d'une simple manette qu'on actionnait pour faire sonner au standard.
Puis, à la fin des année 80, ils ont tiré massivement des lignes de partout, on a pu avoir chacun son téléphone chez soi, avec des communications à prix cassé…
Avant, il fallait indiquer à l'administration des Postes son intention de se voir raccordé au téléphone, et attendre parfois plusieurs années que ladite ordonne de tirer des fils de cuivre jusqu'à chez toi. Je me souviens avec émotion de la camionnette venue tirer le fil, en aérien, sur une centaine de mètres pour acheminer le téléphone dans la maison.
landrover a écrit:... je pourrais pas m'appeler sur mon IPhone alors
Et ca, j'ai jamais su... une option d'époque
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