J'ai plus de becane depuis debut mai
qu'est ce que j'en ai marre de me trainer la teube
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par brakmar33 » 25 Nov 2016, 17:29
Tu sais, en ce moment je suis en mode zero arsouille
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par Reno » 25 Nov 2016, 19:56
Bon, les mecs.
C'est la cata.
Comme certains le savent, nous allons déménager dans les semaines qui viennent. Quel que soit le scénario, il y aura déménagement.
Nous quittons notre riante Normandie pour un coin moins riant, nettement, nettement moins riant (pardon pour les régionaux de l'étape, mais je reviens de 36h en enfer. Littéralement).
Croyez-moi sur parole. La Champagne-Ardenne, en tout cas la zone où nous allons atterrir, c'est la mort de l'âme.
Arrivés vers 13h à Bar-sur-Aube, premier uppercut dans les gencives : c'est IMMONDE. Faut le voir pour le croire. On avait déjà eu un avant-goût les km avant l'arrivée ; les gens du coin sont pudiques, renfermés, taiseux, et du coup, par modestie, il laissent les façades de leurs baraques noircir, le crépi se barre en plaques (comme la sclérose du même nom), des fissures, des lézardes… un paysage de fin du monde.
Allemagne année Zéro. En plus laid.
Je vous jure que je ne force pas le trait. Le syndrome de Florence, à l'envers. Au bout d'un moment, village après village, campagne lépreuse après bois de cauchemar, j'en avais la tête qui tournait. Vertigineux. Et pas seulement parce que la région est gangrénée par les virages (tous ornés de jolis panneaux "verglas fréquent").
Immonde.
J'ignore si le reste de la zone géographique est plus accueillant, mais dans un rayon de 20 bornes autour de Bar, un seul programme, un seul slogan : "Vous qui entrez ici, abandonnez tout espoir."
On ne vient pas vivre dans ce coin-là, on vient y mourir.
Bref, ça c'était l'apéritif. Je parle d'uppercut, les heures suivantes seront pour moi un passage un tabac en règle, sans une minute pour reprendre son souffle
L'après-midi d'hier était donc consacré à la visite de baraques… la pré-sélection envoyée par le gazier chargé de nous faire gagner du temps (envoyée la veille au soir) nous avait donné quelques motifs d'inquiétude : sur les cinq seules maisons sélectionnées (le gars cherche depuis plus d'un mois), trois avaient des superficies inférieures (voire TRÈS inférieures) à celle spécifiée (120m²).
Les visites ont commencé. Entrée en matière luxueuse, la première maison… est un appartement de ville, au deuxième sans ascenseur
je précise qu'il s'agissait de la SEULE à Bar-sur-Aube, alors que nous avions spécifié ne pas trop vouloir nous éloigner.
Le temps de rentrer et de ressortir, nous partons visiter la deuxième baraque… à plus de 10 bornes, par route de lacets (attention verglas)… une grande baraque (160m²), plutôt pas mal… mais dans un bled… ATROCE. Un truc de cauchemar, glacial, sans commerces… juste impossible de se projeter dans ce décor autrement qu'écroulé dans un coin avec les poignets tranchés.
Je vous le dis sans rire : c'était notre choix initial. Sans déconner.
La suite… que dire.
Un cabanon de plage (65m²), mais attention, avec vue sur le lac d'Orient… oui monsieur. Lac qui était en train d'être vidé, ambiance vase de port maritime, quoi
auparavant, une autre baraque, à une cinquantaine de mètres, plus spacieuse, mais très mal foutue avec un voisinage qu'on devine problématique, surtout pour les bagnoles.
Les occupants étaient encore sur place : je discute avec le mec… un ancien graphiste
enfin, quand je dis ancien, le mec devait avoir 15 ans de moins que moi, il était déjà de la génération ouèbe… développeur, tout ça… bon, pas de bol, le mec se retrouve au RSA (sa compagne également, faut dire que la région est sinistrée économiquement)… quand je lui demande s'il a des choses en vue, il me dit que dans la région, c'est mort. Voilà qui augure merveilleusement de mon avenir professionnel 
putain je vais me tuer
Il faut visualiser tout ce que je vous raconte avec une météo en rapport : ciel gris mortel, froid mordant qui vous bouffe les os… une ambiance.
Ensuite, un chalet en gros rondins qu'Emma Peel a instantanément détesté. Moi à la rigueur, ça aurait pu m'amuser 5 minutes (il faut dire qu'à ce stade-là, j'étais prêt à tout, hein).
Dernière visite à la nuit tombée : l'apothéose, une baraque encore en travaux, trop petite, encore à perpète dans un bled au bout d'une route en lacets…
On est rentré à l'hôtel (une merveille) avec une très nette envie de se flinguer.
Je précise que nous sommes sensés décarrer dans moins d'un mois. Oui madame, oui monsieur.
Le lendemain matin, frais comme une rose après une nuit durant laquelle j'ai enchaîné 5 crises d'angoisse (chaque fois que je commençais à fermer les yeux, en fait), où j'ai alternativement crevé de chaud et de froid, je suis d'attaque pour une nouvelle journée radieuse de ciel gris et de froid mordant
#jaimemavie
Vu le succès de la veille, deux visites supplémentaires sont programmées en catastrophe.
Coup de bol, la première baraque, dans un bled assez éloigné (mais un tout petit peu moins glauquissime que le tout-venant) au bout d'une grande ligne droite
(si si, ça existe dans la région) à 15min de Bar, est acceptable. À défaut d'être sympa (faut quand même pas déconner 
), elle remplit presque le cahier des charges 
presque, parce qu'elle fait 98m² , mais bien agencée.
Bon, faut pas rêver, une seule salle de bains, un garage une place… on perd une pièce… mais bon, à ce stade-là, une bicoque qui ne donne pas envie de s'immoler par le feu au premier coup d'œil, dans l'état de détresse nerveuse dans laquelle on se trouvait, on était à deux doigts d'éprouver un sentiment proche de la résignation. Pas du soulagement, mais au moins, de la résignation.
Dernière visite presque pour finir en beauté : une ruine, dans laquelle les 6 mois de travaux nécessaires à rendre l'ensemble viable nous étaient promis en 3 semaines. Car telle est l'efficacité des artisans de la région, l'impossible est leur quotidien, l'exploit est leur ordinaire.
Il est temps de reprendre la route, car d'une part, c'est quand même pas une région où on veut s'éterniser trop longtemps (pas de bol, nous on y sera d'ici moins d'un mois), d'autre part, c'est quand même 4h pour rejoindre ce qui fut notre foyer.
Passons à présent aux petits à côté. Après le tabassage en règle, on achève le mourant quand on sait vivre
C'est parti :
C'est fini les courses de proximité à 5 minutes à pied. Pour faire quoi que ce soit, ce sera la bagnole.
La bagnole : la mienne aura 19 ans l'an prochain. Vu ma situation financière, en changer relève de l'utopie. Elle était entretenue ces dernières années par une concession Alfa Roméo de tout premier plan. Des as.
Là-bas, vous pensez bien que les italiennes, on ne connait pas. Deux garages, un Citroën, un Renault. On roule Français. Je respecte
Pour l'entretien de ma bagnole, en revanche, ça s'annonce mal. Je dois donc compter sur une voiture vieillissante, qui peut donc me lâcher n'importe quand, dont l'entretien sera fait au mieux par du mutlimarques… soit pas. Se retrouver piéton, dans un coin comme ça ?… mauvaise idée.
Des gags presque anecdotiques, le "guide" nous demande quelle est notre banque… je réponds "Société Générale", il me dit : "y en a pas !" et il ajoute, ce qui est la réponse à quasiment toutes les questions du type "y a-t-il ?…" : "Il faut aller à Troyes."
Troyes, 1h de bagnole (quand on a une bagnole, je veux dire). 2h A/R. Tranquille. À la fraîche. Toujours à la fraîche, dans le coin.
Ah pardon ! La météo, on en parle ?
À la dernière visite, comme je vois des clim hors d'âge dans le taudis (jusqu'à présent, c'était plutôt des cheminées, des poêles à granules…), je demande à la fille qui nous fait visiter : "et la météo, ça donne quoi ?"
"Ah rassurez-vous," me dit-elle, enjôleuse "les été, il fait bon, dans les 30° !"
Et là je comprends : climat continental, -15° l'hiver, 30~35° l'été. Tout ce que je déteste, moi qui suis un animal des milieux tempérés/océaniques, qui commence à tourner de l'œil dès que la température dépasse les 23° ou descend en-dessous de 10°.
Œuf-jambon-fromage. La complète. Full bar (sur Aube)(ouais, j'ai encore le cœur à faire de l'humour)
On est rentré sur les coups de 17h.
J'ai l'impression d'avoir fait un cauchemar
Le cauchemar, quoiqu'il advienne, va se concrétiser d'ici 3 semaines.
C'est la cata.
Comme certains le savent, nous allons déménager dans les semaines qui viennent. Quel que soit le scénario, il y aura déménagement.
Nous quittons notre riante Normandie pour un coin moins riant, nettement, nettement moins riant (pardon pour les régionaux de l'étape, mais je reviens de 36h en enfer. Littéralement).
Croyez-moi sur parole. La Champagne-Ardenne, en tout cas la zone où nous allons atterrir, c'est la mort de l'âme.
Arrivés vers 13h à Bar-sur-Aube, premier uppercut dans les gencives : c'est IMMONDE. Faut le voir pour le croire. On avait déjà eu un avant-goût les km avant l'arrivée ; les gens du coin sont pudiques, renfermés, taiseux, et du coup, par modestie, il laissent les façades de leurs baraques noircir, le crépi se barre en plaques (comme la sclérose du même nom), des fissures, des lézardes… un paysage de fin du monde.
Allemagne année Zéro. En plus laid.
Je vous jure que je ne force pas le trait. Le syndrome de Florence, à l'envers. Au bout d'un moment, village après village, campagne lépreuse après bois de cauchemar, j'en avais la tête qui tournait. Vertigineux. Et pas seulement parce que la région est gangrénée par les virages (tous ornés de jolis panneaux "verglas fréquent").
Immonde.
J'ignore si le reste de la zone géographique est plus accueillant, mais dans un rayon de 20 bornes autour de Bar, un seul programme, un seul slogan : "Vous qui entrez ici, abandonnez tout espoir."
On ne vient pas vivre dans ce coin-là, on vient y mourir.
Bref, ça c'était l'apéritif. Je parle d'uppercut, les heures suivantes seront pour moi un passage un tabac en règle, sans une minute pour reprendre son souffle
L'après-midi d'hier était donc consacré à la visite de baraques… la pré-sélection envoyée par le gazier chargé de nous faire gagner du temps (envoyée la veille au soir) nous avait donné quelques motifs d'inquiétude : sur les cinq seules maisons sélectionnées (le gars cherche depuis plus d'un mois), trois avaient des superficies inférieures (voire TRÈS inférieures) à celle spécifiée (120m²).
Les visites ont commencé. Entrée en matière luxueuse, la première maison… est un appartement de ville, au deuxième sans ascenseur
je précise qu'il s'agissait de la SEULE à Bar-sur-Aube, alors que nous avions spécifié ne pas trop vouloir nous éloigner.Le temps de rentrer et de ressortir, nous partons visiter la deuxième baraque… à plus de 10 bornes, par route de lacets (attention verglas)… une grande baraque (160m²), plutôt pas mal… mais dans un bled… ATROCE. Un truc de cauchemar, glacial, sans commerces… juste impossible de se projeter dans ce décor autrement qu'écroulé dans un coin avec les poignets tranchés.
Je vous le dis sans rire : c'était notre choix initial. Sans déconner.
La suite… que dire.
Un cabanon de plage (65m²), mais attention, avec vue sur le lac d'Orient… oui monsieur. Lac qui était en train d'être vidé, ambiance vase de port maritime, quoi
auparavant, une autre baraque, à une cinquantaine de mètres, plus spacieuse, mais très mal foutue avec un voisinage qu'on devine problématique, surtout pour les bagnoles.Les occupants étaient encore sur place : je discute avec le mec… un ancien graphiste
enfin, quand je dis ancien, le mec devait avoir 15 ans de moins que moi, il était déjà de la génération ouèbe… développeur, tout ça… bon, pas de bol, le mec se retrouve au RSA (sa compagne également, faut dire que la région est sinistrée économiquement)… quand je lui demande s'il a des choses en vue, il me dit que dans la région, c'est mort. Voilà qui augure merveilleusement de mon avenir professionnel putain je vais me tuerIl faut visualiser tout ce que je vous raconte avec une météo en rapport : ciel gris mortel, froid mordant qui vous bouffe les os… une ambiance.
Ensuite, un chalet en gros rondins qu'Emma Peel a instantanément détesté. Moi à la rigueur, ça aurait pu m'amuser 5 minutes (il faut dire qu'à ce stade-là, j'étais prêt à tout, hein).
Dernière visite à la nuit tombée : l'apothéose, une baraque encore en travaux, trop petite, encore à perpète dans un bled au bout d'une route en lacets…
On est rentré à l'hôtel (une merveille) avec une très nette envie de se flinguer.
Je précise que nous sommes sensés décarrer dans moins d'un mois. Oui madame, oui monsieur.
Le lendemain matin, frais comme une rose après une nuit durant laquelle j'ai enchaîné 5 crises d'angoisse (chaque fois que je commençais à fermer les yeux, en fait), où j'ai alternativement crevé de chaud et de froid, je suis d'attaque pour une nouvelle journée radieuse de ciel gris et de froid mordant
#jaimemavieVu le succès de la veille, deux visites supplémentaires sont programmées en catastrophe.
Coup de bol, la première baraque, dans un bled assez éloigné (mais un tout petit peu moins glauquissime que le tout-venant) au bout d'une grande ligne droite
(si si, ça existe dans la région) à 15min de Bar, est acceptable. À défaut d'être sympa (faut quand même pas déconner ), elle remplit presque le cahier des charges presque, parce qu'elle fait 98m² , mais bien agencée.Bon, faut pas rêver, une seule salle de bains, un garage une place… on perd une pièce… mais bon, à ce stade-là, une bicoque qui ne donne pas envie de s'immoler par le feu au premier coup d'œil, dans l'état de détresse nerveuse dans laquelle on se trouvait, on était à deux doigts d'éprouver un sentiment proche de la résignation. Pas du soulagement, mais au moins, de la résignation.
Dernière visite presque pour finir en beauté : une ruine, dans laquelle les 6 mois de travaux nécessaires à rendre l'ensemble viable nous étaient promis en 3 semaines. Car telle est l'efficacité des artisans de la région, l'impossible est leur quotidien, l'exploit est leur ordinaire.
Il est temps de reprendre la route, car d'une part, c'est quand même pas une région où on veut s'éterniser trop longtemps (pas de bol, nous on y sera d'ici moins d'un mois), d'autre part, c'est quand même 4h pour rejoindre ce qui fut notre foyer.
Passons à présent aux petits à côté. Après le tabassage en règle, on achève le mourant quand on sait vivre
C'est parti :
C'est fini les courses de proximité à 5 minutes à pied. Pour faire quoi que ce soit, ce sera la bagnole.
La bagnole : la mienne aura 19 ans l'an prochain. Vu ma situation financière, en changer relève de l'utopie. Elle était entretenue ces dernières années par une concession Alfa Roméo de tout premier plan. Des as.
Là-bas, vous pensez bien que les italiennes, on ne connait pas. Deux garages, un Citroën, un Renault. On roule Français. Je respecte
Pour l'entretien de ma bagnole, en revanche, ça s'annonce mal. Je dois donc compter sur une voiture vieillissante, qui peut donc me lâcher n'importe quand, dont l'entretien sera fait au mieux par du mutlimarques… soit pas. Se retrouver piéton, dans un coin comme ça ?… mauvaise idée.
Des gags presque anecdotiques, le "guide" nous demande quelle est notre banque… je réponds "Société Générale", il me dit : "y en a pas !" et il ajoute, ce qui est la réponse à quasiment toutes les questions du type "y a-t-il ?…" : "Il faut aller à Troyes."
Troyes, 1h de bagnole (quand on a une bagnole, je veux dire). 2h A/R. Tranquille. À la fraîche. Toujours à la fraîche, dans le coin.
Ah pardon ! La météo, on en parle ?
À la dernière visite, comme je vois des clim hors d'âge dans le taudis (jusqu'à présent, c'était plutôt des cheminées, des poêles à granules…), je demande à la fille qui nous fait visiter : "et la météo, ça donne quoi ?"
"Ah rassurez-vous," me dit-elle, enjôleuse "les été, il fait bon, dans les 30° !"
Et là je comprends : climat continental, -15° l'hiver, 30~35° l'été. Tout ce que je déteste, moi qui suis un animal des milieux tempérés/océaniques, qui commence à tourner de l'œil dès que la température dépasse les 23° ou descend en-dessous de 10°.
Œuf-jambon-fromage. La complète. Full bar (sur Aube)(ouais, j'ai encore le cœur à faire de l'humour)
On est rentré sur les coups de 17h.
J'ai l'impression d'avoir fait un cauchemar
Le cauchemar, quoiqu'il advienne, va se concrétiser d'ici 3 semaines.
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par Untel » 25 Nov 2016, 20:11
Ah nan mais en fait vous déménagez en plein dan la diagonale du vide, c'est ça?
Z'êtes pas bien...
Z'êtes pas bien...
Dernière édition par Untel le 25 Nov 2016, 20:17, édité 2 fois au total.
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par Copeau » 25 Nov 2016, 20:12
Ils ont de l'excellente niôle, ceci dit :aloi:
J'étais un peu dans le même état d'esprit que toi lorsque je suis arrivé en Meurthe et Moselle, et puis, on s'y fait très vite en fait. Bon, après quelques TS, certes, mais vite quand même
J'étais un peu dans le même état d'esprit que toi lorsque je suis arrivé en Meurthe et Moselle, et puis, on s'y fait très vite en fait. Bon, après quelques TS, certes, mais vite quand même
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par lautromi » 25 Nov 2016, 20:13
C'est pas faute de t'avoir prévenu.
Même Longwy, c'est mieux que Bar/Aube (j'avais un client là-bas : il a fermé d'ailleurs).
Même Longwy, c'est mieux que Bar/Aube (j'avais un client là-bas : il a fermé d'ailleurs).
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par Reno » 25 Nov 2016, 20:15
Untel a écrit:Ah nan mais en fait vous déménagez en plein dan la diagonale du vide, c'est ça?
Z'êtes pas bien...
Heu, là, pas bien du tout, même. Mal, très mal
Copeau a écrit:Ils ont de l'excellente niôle, ceci dit :aloi:
Ce sera ça très vite, ça, ou les anti-dépresseurs.
J'étais un peu dans le même état d'esprit que toi lorsque je suis arrivé en Meurthe et Moselle, et puis, on s'y fait très vite en fait. Bon, après quelques TS, certes, mais vite quand même
Ça doit être la première entrée sur mon planning des choses à faire en arrivant.
lautromi a écrit:C'est pas faute de t'avoir prévenu.
Même Longwy, c'est mieux que Bar/Aube (j'avais un client là-bas : il a fermé d'ailleurs).
C'est pas me prévenir, qu'il aurait fallu faire, c'est me menacer.
De toute façon, c'est le seul langage qu'ils comprennent ces cons-là.
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par nic0 » 25 Nov 2016, 20:15
ce Reno faut toujours qu'il voit tout en austère
tu transvases ton compte au Crédit Agricole, tu achètes une BX (éventuellement une Xantia), tu te procures des bottes en caoutchouc et tu verras ça ira déjà beaucoup mieux
tu transvases ton compte au Crédit Agricole, tu achètes une BX (éventuellement une Xantia), tu te procures des bottes en caoutchouc et tu verras ça ira déjà beaucoup mieux
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par Untel » 25 Nov 2016, 20:18
Et le climat continental, tu fais bien d'en parler. Deux hivers et tu as la peau qui se décolle.
L'été tu choppe des cloques à cause du soleil. Des cloques, t'entends?
Bon sinon faut pas désespérer, ça à quand même l'air charmand
https://www.google.fr/search?q=bar+sur+ ... YQ_AUICCgD
A moins que Google images ne soit de mèche avec les autochtones pour attirer les inconscients afin de repeupler la région.
L'été tu choppe des cloques à cause du soleil. Des cloques, t'entends?
Bon sinon faut pas désespérer, ça à quand même l'air charmand
https://www.google.fr/search?q=bar+sur+ ... YQ_AUICCgDA moins que Google images ne soit de mèche avec les autochtones pour attirer les inconscients afin de repeupler la région.
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par nic0 » 25 Nov 2016, 20:20
lautromi a écrit:C'est pas faute de t'avoir prévenu.
Même Longwy, c'est mieux que Bar/Aube (j'avais un client là-bas : il a fermé d'ailleurs).
ha mais Bar/Aube je connais
j'ai de la famille là bas enfin j'avais
le tonton un jour il a tué toute sa famille avec la 22 long riffle, et après il s'est pendu en ayant bien pris le soin de mettre le feu à la maison avant
on s'était toujours demandé pourquoi un tel drame avait pu avoir lieu, je comprends mieux maintenant
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Re: Et vous, que faites-vous à l'instant T ?
par nic0 » 25 Nov 2016, 20:24
Untel a écrit:
Bon sinon faut pas désespérer, ça à quand même l'air charmand
A moins que Google images ne soit de mèche avec les autochtones pour attirer les inconscients afin de repeupler la région.
c'est des vrais déglingos à bar/aube quand ils font la teuf
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