Je suis aujourd'hui un mec normal ultra agacé (et il en faut pourtant)
Comme tout passionné de montre, j'ai mes adresses favorites. Si bien en vrai, que sur la toile.
De toutes ces adresses, il y en a une que je n'ai pas apprécié, c'est misterchrono a Paris. J'y suis allé l'an passé, avec deux amis. J'ai jamais vu un staff si peu aimable, "j'ai une patek au poignet et toi t'es une merde". Voila ce que j'ai (ce qu'on a!) ressenti.
Je me suis juré de ne plus jamais "faire affaire" avec ces gens là jusqu'au mois dernier. Ils avaient en effet deux trois bricoles qu'il me fallait absolument pour modder. Je passe commande le 7 avril et depuis ; SILENCE RADIO avec pour seul message le lendemain de la commande
"Un des articles de votre commande est en cours d'approvisionnement. Nous devrions le recevoir d'ici quelques jours
Traduisez par :
"On vend des produit qu'on a pas mais on t'encaisse quand même et on te fait poireauter comme un trou du cul"
Depuis, j'ai envoyé deux mail. Dont un, leur demandant de me rembourser parce que ça va bien deux minutes, et rien du tout. J'ai même appelé ce matin, ça sonne dans le vide.
Bref, si ils répondent pas, je vais devoir débarquer chez eux comme ça et réclamer mon billet. J'espère ne pas avoir en arriver là, ce serait incroyable d'en arriver là
Dans un premier temps, tu ouvres un "incident" Paypal, qui en gros allume une petite lumière rouge sur la transaction… le vendeur a alors un certain temps pour régulariser (ou contester, si c'est un fils de personne ou un plagiaire).
Le vendeur peut à ce stade accéder à tes demandes éventuelles (remboursement, partiel ou total ; remplacement d'un produit défectueux, etc…).
Si au bout du délai imparti, le vendeur n'a pas pris les mesures qui s'imposent, "l'incident" se transforme alors en "litige", et là…
Instantément, PayPal déclenche une "opération Épervier", à savoir l'envoi immédiat de forts des halles équipés de nerfs de bœuf, de chaînes de vélo, de crans d'arrêt et de barre à mine chez le vendeur indélicat afin de lui fracturer tibias, genoux et auriculaire(s) (ça, ça fait hyper mal).
Une fois qu'ils lui ont bien mis la misère (et non sans lui avoir au préalable pissé dessus) ils repartent, après lui avoir fait les poches, à hauteur du montant du, défrayé de leurs émoluements, butin qu'ils iront certainement boire au bistro, avant de rentrer dans leur sous-pente à la nuit tombée pour se faire engueuler par bobonne, sous prétexte "qu'ils rentrent encore saouls comme des cochons".
La somme te sera alors restituée, et tu pourras éclater d'un rire bravache derrière ton écran, restauré dans ta dignité, et bien content que le malotru ait reçu une leçon qu'il n'oubliera pas de sitôt, ce qui le conduira logiquement a corriger son existence, méditer sur ses errements et à vivre dans la crainte de Dieu.