et si vous n'êtes pas encore bien éveillé.. voici un dernier petit morceau tres tres
Alice Cooper & son clip officiel de sa chanson "Dead Don’t Dance". Le clip, réalisé par Marius Voigt de Lichtschloss Filmproduktion, donne un aperçu des coulisses avec des images inédites du groupe sur la route.
"Dead Don’t Dance" est extrait du dernier album de Cooper, Road, qui est sorti le 25 août.
Produit par Bob Ezrin, collaborateur de longue date, Road a été écrit, composé et enregistré avec les compagnons de route d’Alice – Ryan Roxie (guitare), Chuck Garric (basse), Tommy Henrikson (guitare), Glen Sobel (batterie) et Nita Strauss (guitare).
"Dans le passé, les critiques portaient sur les concerts avant la musique", s’amuse Alice Cooper. "Nous avons eu des albums à succès, mais c’est toujours ce que nous avons fait sur scène qui a fait parler de nous. Pour 'Road', je voulais que le groupe soit impliqué dans la création de toutes les chansons. Je ne les vois que lorsque nous sommes sur la route. Je voulais donc qu’ils soient aussi soudés qu’ils le sont pour le concert, mais sur de nouveaux morceaux. C’est ce que nous avons fait pour cet album. Quand vous avez un groupe aussi bon, je crois qu’il faut le montrer, et c’est ma façon de le faire."
On a déjà pu profiter d’un premier single au mois de juin, "I’m Alice", et puis de "White Line Frankenstein" en juillet dernier, un duo avec le guitariste Tom Morello.
maintenant que je vous ai bien secoué et que vous êtes dans les starting blocs pour une journée de travail.. je vais me reposer mes oreilles de retraité avec quelque chose de beaucoup plus doux
Le mythique Brian Eno est remonté sur scène à la Fenice de Venise après une longue absence.
75 ans, le grand musicien anglais remonte sur scène avec Kristjan Järvi. C’est dans une des salles d’opéra les plus mythiques au monde qu’une des personnalités les plus mythiques de la musique d’aujourd’hui a retrouvé la scène samedi 21 octobre après une longue absence.
Couronné du Lion d’or de la Biennale de Venise pour l’ensemble de sa carrière (il succède au palmarès au compositeur italien Giorgio Battistelli), Brian Eno a été choisi "pour ses recherches sur la qualité, la beauté et la diffusion du son digital et sa conception de l’espace acoustique comme instrument de composition ". Mais, explique l’Anglais lui-même en souriant au public de la Fenice, la compositrice Lucia Ronchetti, directrice de la Biennale, l’a convaincu de donner, pour l’occasion, un concert avec orchestre. Et cela, c’était un autre défi.
Brian Eno C’est que, en un demi-siècle de carrière, Eno a plutôt choisi d’être un homme de l’ombre. Certes, on trouve sur Internet des vidéos où il apparaît tout en strass, paillettes et plumes d’autruches, longue chevelure blonde et maquillage extravagant : cofondateur de Roxy Music en 1972, il y jouait des premiers synthétiseurs tout en assurant la deuxième voix derrière Bryan Ferry.
Mais la suite est connue : face à l’impossibilité de concilier les egos des deux Brian/Bryan, Eno quitte le groupe l’année suivante et se lance dans une carrière solo riche de plus de septante albums (le plus souvent instrumentaux, mais parfois aussi chantés), de nombreuses collaborations (le Bowie de la trilogie berlinoise, mais aussi le duo Cluster, Robert Fripp, John Cale, David Byrne, Holger Czukay, Harold Budd, Jah Wobble, Jon Hassell, Daniel Lanois…), d’une activité soutenue de réalisateur artistique (notamment pour les Talking Heads, U2 ou Coldplay) et, ces dernières années, d’une stature de conscience morale, militant pour des causes telles que la paix, les droits de l’homme, l’annulation de la dette des pays en voie de développement ou la protection de l’environnement. Eno est aussi reconnu comme le pape, sinon le père, de l’ambient music, cette musique discrète capable de nous accompagner dans des situations quotidiennes, de l’ascenseur à l’exposition d’art.
En un demi-siècle, Eno, 75 ans aujourd’hui, n’a à l’évidence pas chômé, mais on ne se souvenait pas de l’avoir vu remonter sur scène pour y prendre le micro et chanter, même s’il y eut ce très beau concert instrumental donné en 2021 avec son frère Roger sur le site de l’Acropole à Athènes. Il aura fallu Venise, Ronchetti et… Kristjan Järvi pour le convaincre. Chef d’orchestre, fils et frère de chef d’orchestre (Neeme et Paavo), Järvi est aussi compositeur, suffisamment ouvert pour dépasser lui aussi les barrières entre classique et rock. Pour Eno, il est venu avec le Baltic Sea Philharmonic, un orchestre de jeunes qu’il a fondé.
Sur une scène assez sombre, parfois nimbée de quelques fumigènes, tous les musiciens sont habillés à l’identique (pantalon et t-shirt noirs, avec sur le ventre un rond de couleur), et presque tous – exception faite des violoncelles, d’une viole de gambe et des claviers) jouent debout, et même en se déplaçant continuellement sur la scène. Vêtu à l’identique, mais avec des baskets blanches qui le distinguent, Järvi n’est pas sur une estrade : démarche féline, gestes lents de chaman, s’approchant des musiciens pour déclencher un solo ; s’accroupissant puis se relevant, il est aussi le porte-parole, à l’avant-scène, d’un Eno resté en arrière et en hauteur, comme caché entre les cordes et les percussions. Désormais chauve et avec un collier de barbe blanche, le grand musicien, lui aussi en jeans et t-shirt noir, est installé parmi les autres derrière un clavier et son micro, comme protégé par la garde rapprochée de fidèles qui l’entourent : Leo Abrahams à la guitare, Peter Chilvers aux claviers, mais aussi la compositrice et soprano Melanie Pappenheim ainsi que l’acteur Peter Serafinowicz comme choristes de luxe. D’abord presque intimidé, Eno s’affranchit peu à peu au fil de la soirée et s’adresse au public, visiblement heureux de cet improbable retour.
Le célèbre guitariste des Doors sort le premier album éponyme de son nouveau groupe, Robby Krieger And The Soul Savages, le 19 janvier
Robby Krieger And The Soul Savages a été enregistré "à l’ancienne", selon un communiqué, "avec une bande d’amis qui jammaient et enregistraient dans un studio en toute décontraction". Réalisé dans les studios Love Street de Robby Krieger à Glendale, en Californie, l’album "montre Robby sur une musique inspirée de la soul classique, du jazz des années 1960, du blues, du rock, du rock psychédélique et d’autres styles encore."
Les fans retrouveront le style singulier du guitariste, avec "son célèbre doigté, et son jeu de guitare slide jazzy et aventureux, son travail rythmique fluide inspiré du funk, et son jeu d’octave soyeux à la Wes Montgomery. Cet album de 10 titres explore les racines soul-jazz, dirty blues des Doors tout en faisant progresser la carrière de Robby en tant que guitariste de jazz-fusion."
On peut déjà découvrir un premier extrait de cet album, avec "A Day in L.A." :
PERFASETNEFAS a écrit:Le célèbre guitariste des Doors sort le premier album éponyme de son nouveau groupe, Robby Krieger And The Soul Savages, le 19 janvier
Robby Krieger And The Soul Savages a été enregistré "à l’ancienne", selon un communiqué, "avec une bande d’amis qui jammaient et enregistraient dans un studio en toute décontraction". Réalisé dans les studios Love Street de Robby Krieger à Glendale, en Californie, l’album "montre Robby sur une musique inspirée de la soul classique, du jazz des années 1960, du blues, du rock, du rock psychédélique et d’autres styles encore."
Les fans retrouveront le style singulier du guitariste, avec "son célèbre doigté, et son jeu de guitare slide jazzy et aventureux, son travail rythmique fluide inspiré du funk, et son jeu d’octave soyeux à la Wes Montgomery. Cet album de 10 titres explore les racines soul-jazz, dirty blues des Doors tout en faisant progresser la carrière de Robby en tant que guitariste de jazz-fusion."
On peut déjà découvrir un premier extrait de cet album, avec "A Day in L.A." :
Bravo Belle trouvaille .J'adore. .Le genre de groupe qu'on aurait aimer inviter si notre festival de jazz existait toujours.
Pour ceux qui aiment bien suivre ce qu’ils écoutent voici le 2ème concerto de Vassily Brandt pour cornet à pistons et piano interprété par David Guerrier
Pour les amateurs d'Opera, voici l’interprétation célèbre de "La Reine de la nuit" par Florence Foster Jenkins (c'est elle qui donna lieu au film récent "Marguerite").
Heureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes, ils n'ont pas fini de rigoler !
Belle trouvaille .J'adore. 
.Le genre de groupe qu'on aurait aimer inviter si notre festival de jazz existait toujours.
