Je regarde des vidéos de concerts de Cabrel. Non sans une certaine nostalgie d'une époque à laquelle on chantait dans un très beau français des chansons toutes simples qui racontent des histoires toutes simples mais qui frappent <<direct au cœur>>. Ce en quoi je tire une ligne qui relierait bien Sheller à Cabrel. https://www.youtube.com/watch?v=k8QuVr3DORk&t=402s
Je suis l'addition de mes contradictions. Son résultat doit être proche de zéro. En clair, je ne suis pas grand chose. (Нико_ле_Норманд) Je n'ai plus qu'à me vendre aux saints, aux martyrs et aux anges. (Jérôme Santelli)
Nico_le_Normand a écrit:Je regarde des vidéos de concerts de Cabrel. Non sans une certaine nostalgie d'une époque à laquelle on chantait dans un très beau français des chansons toutes simples qui racontent des histoires toutes simples mais qui frappent <<direct au cœur>>. Ce en quoi je tire une ligne qui relierait bien Sheller à Cabrel. https://www.youtube.com/watch?v=k8QuVr3DORk&t=402s
Il y a quelques années, en farfouillant dans les CD d'Emma Peel, j'étais tombé sur celui de la B.O. de E.T. et je lui avais emprunté pour la réécouter, sachant que j'avais la cassette, quand j'étais gamin. J'avais dû l'user à force de la faire tourner
J'avais eu la surprise de découvrir que le CD de Madame était une version réorchestrée
absolument somptueuse, bien meilleure que la première version. Ça avait donc été un double plaisir, d'abord de réécouter cette musique qui m'avait tant plu en son temps, ensuite de la redécouvrir sous un jour nouveau, d'une qualité supérieure à l'originale.
Il vient de m'arriver un phénomène similaire.
Ces derniers temps, je revisite des vieilleries... après une période Pink Floyd et Supertramp, je repasse par le Velvet Underground et les Doors.
Et justement, j'ai décidé de réécouter leur album le moins apprécié de la critique d'alors :
Et là, je m'aperçois qu'il s'agit d'une version "40e anniversaire" avec un remix des pistes.
Ici, par de réorchestration, mais en revanche, une qualité sonore au top, avec un gros travail sur la stéréo
Je prends un pied dément, le son est spectaculaire
Ce genre de surprise inattendue, sur des albums qu'on connait par cœur, est un véritable cadeau
en ce moment, sur la platine:Eric Von Schmidt, "2nd Right, 3d Row" on est entre le rock'n'roll et le blues... Il s'en dégage une sensualité, une douceur, qui m'ont fait perdre pied. Depuis sa sortie, c'est mon disque de chevet. J'écoute particulièrement un titre en boucle, "My Love Come Rolling Down". Le solo d'harmonica de Paul Butterfield, tout en wah-wah, est le plus envoûtant que j'aie jamais entendu.