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[romuald21]

j'ai été voir Minecraft le film
bon comment dire , j'aime bien les jeux vidéos , j'aime bien le cinéma,
l'art de la réunion des deux est souvent hasardeux et plein de pieges, et bien dans celui ci ils les ont tous pris!!!
bref aucun intérêt qu'on aime ou pas le jeu!

[Reno]

Bon, et bien apparemment ça va se faire. Je n'y croyais plus.

[Untel]

J'ai vu l'affiche promotionnelle au cinéma.
Je suis impatient d'aller le voir...

[Reno]

Je suis surpris qu'il sorte enfin ; je pensais que ça ferait partie de ces projets qui n'aboutissent jamais.

Jared Leto avait l'air surmotivé depuis le début, apparemment c'est un fan du film de 1982. On verra bien.

[Reno]

A force de jouer à CONTROL, j'ai eu envie d'en savoir plus sur l'architecture Brutaliste.


Coïncidence, j'ai vu passer ce film :

[Reno]

Grosse bouffée de nostalgie hier ; j'ai regardé "BRATS", le documentaire d'Andrew McCarthy sur le Brat Pack :



Toute ma jeunesse

[Reno]

Je viens (enfin) de voir TRON: ARES



Je reculais l'échéance depuis des semaines, je craignais d'être déçu. Les critiques étaient assez calamiteuses.

Je dois confesser que je n'avais pas particulièrement été impressionné par Legacy, j'avais trouvé ça joli, mais ni l'histoire ni les nouveaux acteurs ne m'avaient emballé.

J'avais adoré la B.O. de Daft Punk, comme tout le monde.


J'avais déjà un peu écouté la nouvelle (de N.I.N.) avant de me lancer.




Et finalement, aujourd'hui, désœuvré, je m'y suis mis. Je n'avais pas placé de grands espoirs dans ce troisième volet...


ERREUR.

Après un démarrage un peu mou, ça finit par décoller.

Et c'est plutôt très bon.


J'ai été surpris à plusieurs moments par rentrer en communion avec l'émotion ressentie par les personnages. Il y a deux très beaux passages en particulier.

Il y a en outre, assez tard dans le film, quelques petites pointes d'humour assez bien senties, sans que ce soit super lourdingue comme la tendance actuelle de ces dernières années.



Et une quantité non négligeable de références aux deux précédents opus là aussi, disséminées de manière assez discrète. Je suspecte même des références 'infra' au jeu TRON 2.0


Et une pure séquence de fan service dont je n'aurais même pas rêvé.



Je crois que ce film a été fait par de vrais fans (ou par une IA très bien documentée), à destination des fans.

Au bout du compte, je comprends que ça ait pu décevoir le grand public (ou les fans de Legacy), mais pour les amateurs de la première heure, ce film est bien meilleur que ce que les critiques en ont dit.

Enfin je devine aussi pourquoi le public Américain en particulier n'a pas accroché. C'est pas grave.



J'ai passé un très bon moment, et ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un film "à grand spectacle" aussi réjouissant

[Untel]

C'est amusant, moi j'ai bien aimé Legacy.
Le bon est énorme par rapport au premier film.

Pour ce qui est d'Ares, l'écart est beaucoup moins important mais le film réussi à imposer sa "personnalité".
J'ai là aussi bien aimé le film, même si l'effet de surprise était moindre.

[Reno]

C'est amusant, moi j'ai bien aimé Legacy.
Le bon est énorme par rapport au premier film.

Ah mais j'avais bien aimé, hein. Mais pas non plus super enthousiaste non plus.

Garrett Hedlund ne m'avait pas du tout emballé, et Olivia Wilde était vraiment là pour faire de la figuration. Bof, quoi.

Pour ce qui est d'Ares, l'écart est beaucoup moins important mais le film réussi à imposer sa "personnalité".
J'ai là aussi bien aimé le film, même si l'effet de surprise était moindre.

Oui, je dirais presque justement. Je m'attendais presque à m'ennuyer ferme et j'ai vraiment aimé l'irruption de la conscience et de l'humanité dans le personnage d'Arès. J'ai trouvé ça plus convaincant que chez Quorra dans le précédent.

Visuellement, c'était irréprochable, avec même quelques morceaux de bravoure, et effectivement, c'était pas rien de suivre après Kosinski, ça aurait pu être un désastre visuel, mais non, c'était vraiment propre. A la rigueur, on pourrait juste faire le reproche que c'était trop proche de l'esthétique de Legacy, juste avec un code couleur différent.


Mais ça aussi, tiens ; j'ai bien aimé que les protagonistes penchent plus du côté Dillinger. J'ai trouvé le personnage du petit-fils (Evan Peters, que je n'avais pas reconnu) pas inintéressant, avec même parfois de faux airs de David Warner (la scène de fin, dans le serveur Dillinger en ruines, où on voit la combinaison de Sark se former sur lui, après qu'il se soit emparé du disque d'identification )

[Untel]

Du coup on attend une suite.