J'adore cet écrivain, son héros Milo (mikodragovich) est complétement barré, drogué, alcoolique, violent et sans scrupules. C'est plein d'humour et les scénarios sont très bons.
***** AVERTISSEMENT : MESSAGE A CARACTÈRE GRAPHIQUE *****
Je n'ai pas les montres pour seule passion en matière de photographie.
Mon sujet de prédilection se porte plutôt sur les femmes. Avec le moins de trucs possibles sur le dos.
J'ai ainsi eu la chance d'avoir deux amies qui m'ont régulièrement servies de modèles entre 2004 et 2008. D'autres, de manière plus épisodique. Mais j'ai pas mal mitraillé ces quatre années en particulier.
Et j'ai toujours un intérêt très vif pour le nu féminin en général.
Je fais partie de la génération pré-internet ou l'essentiel de la documentation, quelle que soit la discipline, se faisait par le biais du livre.
Dans mon enfance/adolescence, la presse de charme des années 80 comprenait des titres célèbres comme Playboy, Penthouse, New Look, Lui, qui circulaient dans les cours de récré et se repassaient entre copains de cartables en sacs à dos.
Les bandes dessinées dans la chambre de mon grand frère (de 7 ans mon ainé) comprenaient un échantillon varié, mais j'avais été particulièrement marqué par l’œuvre de Guido Crepax et tout particulièrement par son adaptation de l'Histoire d'O de Pauline Réage.
Je devais avoir 12 ans quand je suis tombé dessus par hasard en cherchant des Rubriques-à-brac, ça m'a fait tout drôle
C'est également chez lui que j'étais tombé sur le tout premier magazine pour adultes, dans lequel j'avais vu pour la première fois une dame nue "en vrai"
Oui parce que lorsque nous étions gamins, dans ces magazines, c'étaient des "dames". Pour nous, c'étaient "des grandes".
J'avais ainsi été amusé par un passage dans le premier roman (publié) de Bret Easton Ellis ("Moins que zéro") où il raconte son retour à la maison familiale pour les congés, et où il retrouve sous son lit quelques magazines dont un Playboy. Pour la première fois, il regarde la "bio" de la fille, et se rend compte que le modèle en question était à l'époque plus jeune qu'il ne l'était à présent. Et ça le perturbait. Il y avait là quelque chose de pas normal. Normalement, la fille devait être plus âgée pour que la magie opère, et là ça n'était plus le cas ça m'avait amusé.
Enfin bref, l'âge venant, je me suis aperçu que mon imaginaire érotique était toujours très marqué par les années 80, que ça soit en terme de photographies ou de cinéma d'art et d'essai
Au fil des ans, j'ai recherché cette esthétique particulière des photographes d'antan, et à cette occasion, j'ai découvert que CLAUDE FRANÇOIS avait eu une production de photos de charme, extrêmement réussies (à mon goût).
Le moulin qui se trouvait sur sa propriété faisait office de studio. Ce qui avait inspiré son pseudonyme de photographe : François DUMOULIN.
Un magazine était même né afin de publier les clichés : ABSOLU. (dont j'ignorais totalement l'existence).
Il y avait tout une histoire comme quoi le magazine PODIUM (dont il était également l'éditeur) servait de rabattage pour les filles qui avaient un peu moins froid aux yeux que les autres, et qui se retrouvaient ensuite dans ABSOLU
J'ai cherché un certain temps à mettre la main sur ces magazines, mais ils sont rares (et donc chers) tout en appelant de mes vœux la publication d'un recueil, mais sans succès jusqu'ici.
Récemment, j'ai vu passer une édition de 1979, et j'ai donc cliqué :
Moi qui n'ai jamais été particulièrement fan du chanteur gesticulant et survolté, je dois dire que je suis fasciné par le talent de ce mec en matière de photo.
Outre un goût très sûr en matière de modèles (et de femmes en général - j'aimais beaucoup les Clodettes quand j'étais gamin ),
Alligator 427 a écrit:Sérieux Tu es sûr ? Parce que moi j'ai du le payé 16€, dans une boutique d'objets de design/déco à Lyon qui fermait définitivement l'année dernière.
Alligator 427 a écrit:Sérieux Tu es sûr ? Parce que moi j'ai du le payé 16€, dans une boutique d'objets de design/déco à Lyon qui fermait définitivement l'année dernière.
La dernière (troisième) réédition est à 35 €.
Mais les premières éditions commencent à se faire rare (ou alors les gens les gardent).
Je ne sais plus où j'avais vu passer l'annonce, j'ai fait une recherche rapide, je suis tombé sur celle-ci :
Reno a écrit:Dans mon enfance/adolescence, la presse de charme des années 80 comprenait des titres célèbres comme Playboy, Penthouse, New Look, Lui, qui circulaient dans les cours de récré et se repassaient entre copains de cartables en sacs à dos.
Tiens, ça m'a relancé.
Je viens de recevoir cet ouvrage :
Une somme
Seule déception, je n'ai pas retrouvé le reportage sur la Porsche.