je Vais rentrer dans le détail de ce 29, il est symptomatique !
le 29 камней, élaboré en 1956 par les ingénieurs de Moscou1 .
La tendance était a des moteurs très fin, le 29 est un des records de l'époque, je crois qu'il a été un temps le mouvement le plus fin au monde avec 3,30 mm d’épaisseur sans le rotor, et 3,8mm rotor compris.
Il est cadencé à 5 alternance par seconde, c'est donc un 18000 bps 2,5hertz.
Il est entièrement conçu dés le départ pour être un automatique, l'inverseur d’automatisme fait partie prenante de la platine. Il n'y aucun calibre manuel correspondant a ces 2415 ou 16 orbita cosmos.
Le soviétique en manuel qui pourrait le plus s'en rapprocher est le 2209 vympel.
Bien sur il peut également lui aussi être remonté manuellement.
Il est de type profil bas décalé.
c'est à dire avec une roue centrale désaxée, le barillet n'est donc pas directement en contact avec une roue centrale classique sur laquelle vient s'enficher une chaussée, mais il (le barillet) engrène une petite roue intermédiaire qui à son tour engrène le mobile des minutes, qui fait office de roue centrale ... mais décentrée..
Au centre du calibre,on voit le canon qui reçoit la masse d'automatisme, et en dessous une fois enlevé, enfiché le mobile seconde direct qui recevra la trotteuse.
Ce mobile des minutes est double, il a deux cotés. coté pile il sert aux rouage , cote face il engrène la roue de minuterie.
Son pivot coté moteur (pile) est sur le pont de barillet.
Le train des rouages en laiton comporte donc, aprés le barillet, un renvoi de barillet, le fameux mobile minute, le mobile seconde qui a la particularité d'une double roue et qui engrène le mobile seconde direct du centre; le mobile moyenne et enfin le mobile échappement (qui n’est pas un rouage) dont le pivot est classiquement sur le même pont des rouages
En n'ayant pas de roue centrale avec un pont spécifique comme dans un calibre "classique", on obtient une grande finesse en alignant sur le même plan la totalité des ponts.
Le spiral est plat bien entendu, pas de breguet ici ça serait trop haut, et la serge du balancier possède des plots, l'ancre a une forme bien particulière, elle ressemble à une petite manivelle. Elle doit récupérer le niveau pour venir se coller au balancier.
Ce n'est pas le seul calibre soviétique dans cette configuration profil bas, les russes ont été assez coutumiers du fait, chez zaria avec le 1809, le vympel en 2209..
Si ce mobile de minute ainsi que le petite roue intermédiaire sont usés, le 29 perd toute consistance au réglage des aiguilles, et donc avec des gros risque de glissement. C'est, je pense, son seul point faible.
Mais les pièces normalement se trouvent en neuf chez cousin uk. Perso je préfère acheter des calibres entiers quand je les trouves, déjà ça fait du stock puis ils y a toujours moyen de composer avec les pièces.
Le pont d’automatisme est extrêmement bien conçu.
Le rotor, muni de deux petites roues à bascule,
fournit en bidirectionnel via un train à 4 mobiles, l'énergie 0 un rochet débrayable.
Ce rochet est positionné au dessus de barillet, il fonctionne par un système de débrayage à crochetage interne.
L'action du remontage manuel ou celle du remontage automatique sont toutes les deux totalement indépendantes. la fiabilité du système est totale.
Il fait un joli bruit au remontage auto!
c'est elle = 
).
J'ai zappé un peu et -outre les marques export soviétiques- je n'aurais jamais imaginé le nombre de marques qui ont simplement emboîté des mouvement soviétiques et ce du temps de l'URSS ! Je vais éplucher ça à tête reposée et passer une soirée studieuse... 
, mais l'horlogerie soviet, c'est pas un épiphénomène.
OF COURSE .