Tictac40 a écrit:Reno a écrit:
Seulement voilà, Emma Peel, coutumière des miracles en tout genre, décroche inopinément un poste à ½h du village, et notre destin bascule

On arrête la vente, on quitte
le Mordor la Champagne, et
nous nous installons sur notre lieu de vacances 
"
nous nous installons sur notre lieu de vacances" ... en voilà une bonne idée que de faire de son lieu de vacances son lieu de vie définitif
Définitif, il ne faut jurer de rien
Mais on espère, pour quelques années, oui…
On n'a pas oublié la Normandie.
A part ça, cette petite
Kelton est bien mignonne

Yep
lau84 a écrit:Jolie prise, elle tourne bien?
Ben écoute, ça aura été l'autre "bonne nouvelle" de la journée (décidément)…
Je l'ai très peu portée depuis l'an dernier ; dans mon souvenir, elle était un peu capricieuse… mais en fait non, elle tourne sans broncher, en gardant une précision tout à fait convenable (elle avance peut-être une chouille… il faudra que je m'en assure ce soir).
Son seul petit défaut est d'avoir un entrecorne de 19mm… mais bon, c'est pas bien grave.
Que je te comprend je partage le même attachement pour les lieux... Certains on été vendus bien malheureusement. (mais il faut être pragmatique...)
Ouais, là c'était plus raisonnable… pourtant mon père était partant pour continuer à absorber les charges à l'année… mais ça ne résolvait pas la question de la détérioration d'une baraque non occupée… quand je suis revenu en Mars dernier pour préparer le déménagement (déplacement/démontage de meubles), j'ai découvert que les piles du thermostat avaient lâché durant l'hiver

du coup, la chaudière n'avait pas tourné pour maintenir une température minimale, et la baraque était super humide (malgré la VMC) et de la moisissure s'était foutu un peu partout (bas des murs, revêtements de sol…). En quelques mois à peine, ça avait salement morflé. J'imagine ce que ça peut donner au bout de quelques années d'abandon.
Je ne parle pas du terrain… avec les buissons qui grossissent hors de tout contrôle… j'ai dû acheter une tronçonneuse d'élagage pour désépaissir le cotoneaster qui couvre la butte sur laquelle repose la terrasse… c'était devenu un véritable entrelacs de branches dont certaines atteignaient 3cm de diamètre… impossible de les couper à la main sans y passer des semaines.
Cette saloperie commençait à bouffer la terrasse sur un bon mètre
Là encore, en quelques mois seulement.
J'ai aussi dû débiter des arbres morts du petit bois au fond de notre terrain qui s'étaient affaissés sur notre grillage
Enfin la jungle, quoi
Bon enfin du coup, là, la question est réglée
