Reno a écrit:Untel a écrit:Il a vraiment des tarifs de ouf ton horloger.Gér@rd a écrit:C'est vrai, j'arrive pas à comprendre comment il peut vivre de son métier ! Je sais que ça peut paraître incroyable, mais même les horlogers doivent manger...Tictac40 a écrit:15 € c'est le prix de la réparation ?... il a peut-être fait un prix "d'ami" parce qu'il n'a pas réussi à trouver le bon modèle de couronne ?
Alors, il est salarié de la bijouterie. C'est à dire que je pense que la bijouterie propose ses services "en annexe" de l'activité principale. J'ignore si l'activité serait viable, de façon autonome.
Mais quand je vous dis que c'est une bénédiction d'avoir trouvé cet artiste…
Après, je dois certainement bénéficier aussi de tarifs préférentiels. Mais il faut voir l'image d'ensemble. Sur le volume, j'ai quand même dépensé plusieurs centaines d'€ en réparations diverses. Je ne viens pas une fois dans l'année juste pour "une bricole".
Et pour les opérations un peu plus complexes (révisions, remplacement d'une pièce plus 'sensible'), c'est quand même des tarifs plus élevés. Même si ça reste toujours TRÈS raisonnable.
Après, est-ce que quelqu'un qui prendrait contact avec lui bénéficierait des mêmes conditions, c'est pas évident du tout.
De toute façon, il a du boulot par dessus la tête, et il faut voir ce qui lui passe entre les mains de la clientèle locale (du Patek, du Jaeger, de la Rolex en pagaille)… il m'a raconté une histoire absolument HALLUCINANTE : l'épouse d'un de ses clients avait carrément foutu à la poubelle une CHANEL J12, simplement parce que le bracelet avait casséla femme de ménage avait dû la récupérer… pas mal comme étrennes
Je ne sais pas si ce sont les propriétaires de maisons de Champagne du coin qui roulent sur l'or (parce que le reste de la région ne donne pas particulièrement une impression d'opulence), mais apparemment, il y a du blé dans le secteur
Oui ils fuient les villes qui deviennent des trous à rats oppressants et très chers. Malheureusement la patrouille va les rattraper tôt ou tard. Même Phénomène aux états unis, surtout en Californie qu'ils quittent en masse. Les Texans et autres états moins progressistes et plus rationnels ne sont pas heureux de les voir débarquer.
